« Puisse ce témoignage donner un peu d'espoir à tous les parents qui souffrent atrocement de la perte de leur enfant et ne trouvent plus de sens à leur vie, mais aussi à tous ceux qui vivent difficilement la perte d'un être très cher. »
Terrassée par la mort de son fils Tristan, emporté par un cancer foudroyant à 19 ans, Laurence était prête à le rejoindre. Doucement elle avait repris goût à la vie et livré un premier témoignage sur ce douloureux apprentissage de la vie sans l'autre. Désormais elle veut dire que nul n'est condamné à souffrir toute sa vie, et qu'on peut retrouver le bonheur, la joie de vivre, d'une manière même plus intense, plus profonde. De la blessure a coulé une sève nouvelle.
Sans aucune leçon de vie, ni mode d'emploi, cette mère meurtrie partage son cheminement, poignant de vérité et de sincérité. Pour aider non pas à oublier, mais à vivre avec le souvenir présent de celui qu'on a perdu.
Auteur de J'aimerais tant qu'on se revoie, mon fils, Laurence Lapillonne est désormais très investie dans l'association Jonathan Pierres Vivantes, groupe d'entraide et de parole pour les familles touchées par la perte d'un enfant.